Le MiniMOOG

le minimoog
est un synthétiseur analogique monophonique, inventé par Bob Moog. Cet instrument fixa plusieurs standards pour les synthétiseurs analogiques au niveau de l'interface de contrôle notamment. On peut en jouer via son clavier intégré (une nouveauté).

Ce synthétiseur s'appuie sur la synthèse soustractive : les oscillateurs fournissent des formes d'ondes riches en harmoniques, que le filtre permet d'adoucir.

Le minimoog fonctionne avec 4 sources de sons : 3 oscillateurs (VCO) et un générateur de bruit. Le 3e oscillateur peut être commuté en LFO (oscillateur basse fréquence) et utilisé pour moduler les 2 autres oscillateurs ou le filtre. Les sons mélangés (mixed) passent ensuite par le fameux filtre Moog (VCF passe-bas résonnant à 4 pôles, 24 dB/oct) et un amplificateur (VCA) qui tous deux possèdent leur propre générateur d'enveloppe.

Ce synthétiseur reste aujourd'hui encore une référence dans le monde de la musique électronique, et ce plus de 30 ans après sa sortie, à tel point qu'une réédition (Minimoog Voyager) a récemment vu le jour. Elle reprend l'architecture de l'original, tout en lui ajoutant des fonctionnalités modernes. Sa qualité sonore est sensiblement la même que celle de l'instrument original. Il a été fabriqué de 1971 à 1981.

Il a notamment été utilisé par de nombreux musiciens, dont Eloy Fritsch, Rick Wakeman Jean-Michel Jarre, Rush, Toto, Marillion, Keith Emerson, Rick Wakeman, Yes, Vangelis, Joe Zawinul et Herbie Hancock

TRISTE NOUVELLE



Robert Moog (bob moog) est mort.
Il s'est éteint à l'âge de 71 ans le dimanche 21 août 2005 dans sa maison d’Asheville, en Caroline de Nord.
C'était une légende vivante. Et même mort, cela le restera, car ses instruments continueront pour toujours à chanter son nom et son génie.
En effet, on lui attribue, rien de moins, l'invention du synthétiseur.
Disons, et c'est déjà tout à fait considérable, qu'il a créé des instruments qui formèrent une étape capitale dans l'histoire des synthétiseurs, de la musique électronique, et même de la musique tout court.
Car, rétablissons les faits, les synthétiseurs existaient avant que Robert Moog ne crée les siens. Ils s'appelaient alors spherophone, ondes martenot, trautonium ou encore électrochord. C'étaient certes des instruments très différents des synthétiseurs Moog tels qu'on les connu après, mais il n'empêche que ceux-ci utilisaient déjà des oscillateurs électroniques comme source sonore de base.

Et même quand Robert inventa ses premiers synthétiseurs, il avait déjà un très sérieux concurrent en la personne de Donald Buchla. Ce nom ne vous dit peut-être rien, car il est bien moins connu que celui de Robert Moog. Alors sachez, et je ne pense pas exagérer du tout en disant cela, que les synthétiseurs Buchla sont juste ce qu'on fait de mieux au monde en la matière. Ceci dit, quand on voit la photo d'un synthétiseur Buchla, on comprend tout de suite pourquoi cette marque est moins connue du grand public : ils ne s'adressent qu'à des musiciens experts dans le domaine.

Or, c'est précisément là qu'est intervenu Robert Moog avec ses synthétiseurs.

Oh, cela ne s'est pas fait en un jour. Voyez les premiers synthétiseurs modulaires Moog, ça intimide déjà. Et ce n'est rien par rapport au Moog 55 lancé en 1974, le fameux "gros Moog".

Toutefois, même complexes, ces impressionnantes usines à sons, étaient déjà plus abordables pour un musicien "normal" que les synthétiseurs Buchla, ou aussi que l'ARP 2500 (qui est le gros synthé qu'on voit dans "Rencontres du 3ème type") qui était déjà commercialisé dès 1970. Certes, d'accord, il fallait savoir relier avec art et maîtrise les différents modules entre eux et les paramétrer avec science et musicalité. Mais on s'en sortait, tel Keith Emerson, Klaus Schulze et Tangerine Dream qui n'ont pas hésité à les manipuler sur scène lors de concerts grandioses.

Mais l'étape essentielle des instruments créés par Robert Moog reste et restera le Minimoog. Pourquoi ?

Encore qu'il ne fut le pas le premier synthétiseur portable, ce titre revenant à l'EMS VCS3, il fut par contre celui qui fut adopté d'emblée (enfin, presque...) par tous les musiciens du début des années 70 à la recherche d'un son neuf. La raison en fut simple : c'était le premier synthétiseur réellement conçu pour les musiciens de tous les jours (et non plus les adeptes des musiques expérimentales). Etait-ce tout ? Non ! Ce synthé avait (et possède toujours) un son unique en son genre, aussi tranchant, doux que gras selon les cas, bref un son reconnaissable entre tous et qui fit tout de suite sa célébrité.

Il est cependant amusant, si on tient à s'intéresser aux origines du Minimoog, de se rendre compte à quel point celui-ci dérivait au départ de ses grands frères modulaires. Ce n'est qu'au fur et à mesure des modèles qu'on en vint au Minimoog model D, celui que tout le monde connaît.

Suite au Minimoog, Robert Moog créera d'autres synthés extrêmement célèbres dont le Polymoog.

Mais, encore une fois, c'est vraiment le Minimoog qui révolutionna l'univers du synthétiseur. Son architecture fut copié, recopié, et recopié encore par la plupart des synthés grand public qui arrivèrent après lui. De nos jours encore, le Minimoog demeure l'archétype même du synthé aux yeux de la plupart des musiciens. Le seul synthé qui puisse, peut-être, rivaliser avec lui est le Prophet-5. Mais que fut au fond le Prophet-5 ? Un Minimoog polyphonique

j'ai eu la chance de pouvoir rencontrer Bob Moog au NAMM de 1997.
je luis est dit que j avais acheter un vieux minimoog tout casser et que j avais besoin de pièce détachée pour le remettre en état de marche il ma donné son adresse et ma dit de le contacté plus tard
c'est ce que j ai fait et il m'a envoyé des pièces détachée original pour mon minimoog
il ma fais cadeau des pièces il ma dit que plus personne ne s intéressais a lui,
et de voir un jeune qui voulais retaper un vieux minimoog ca lui donnais du chaud au coeur
c'était un homme très gentil et qui ne ce prenais pas la tête.

qu'il repose en paix

voici une photo de mon minimoog



Le mythe. Esayons de l'expliquer :

La génèse du Minimoog est très simple : en 1969, Bob Moog vend, au travers de sa marque de synthé R.A. moog, des systèmes de synthèse analogique modulaire. Leur son est révolutionnaire, mais leur poids et encombrements sont gigantesques : Les dos des roadies de Keith Emerson s'en souviennent encore. Sans compter les problèmes de stabilités, d' accordage, etc. Par ailleurs ces sytèmes touchent principalement des cherheurs ou des musiciens avant-gardistes, mais pas la majorité des musiciens d'alors, encore habitués à leurs pianos Rhodes et leurs orgues combos (et accessoirement leurs plateforms boots ! ). Bob charge donc une équipe, comprenant notamment L'ingénieur Jim Scott, de créer un synthé reprenant l'architecture des modulaires, tout en offrant aux musiciens de l'époque un instrument pratique et fiable.
Après des études de design et des tests étonnants auprès d'un panel de zicos de l'époque, le concept du synthé "tout en bakélite blanc forme Cosmos1999" est abandonné (ouf ... merci pour la postérité) et ait gardé finalement le traditionnel mélange bois/métal, avec un panneau de controle orientable cependant.
Après différents tatonnements qui verront la création des protoypes model-A (des modules extrais des synthés modulaires de l'époque assemblés entre eux pour une première version),model-B (version qui voit disparaitre les cables de patch) et model-C (apparition des molettes de controles), le model-D est finallement considéré comme suffisamment fiable pour être commercialisé.
Il va s'en vendre ... 12000 ! entre 1971 (présentation en juin au NAMM) jusqu'en 1981 ...
Les début sont difficiles (Bob raconte comment il était dur de proposer ses produits dans les boutiques de musique de l'époque, imaginez : un orgue avec écrit des termes comme Oscillator Bank ou Filter dessus ...), mais le minimoog devient un rapidement une référence, devenu un classique entendu dans des milliers de morceaux, dans tous les styles,etc.

Des basses aux Leads ou des percus electroniques, etc. , il est difficle de prendre en défaut un Minimoog. Sachez cependant qu'en fonction des Numéros de série, les composants ne sont pas toujours les mêmes, ce qui fait notamment sonner par exemple les premières versions différement des 25 derniers produits ( avec plaques commémoratives s'il vous plait !) dont le dernier exemplaire fut donné à Bob Himself.
il y'a aussi des problèmes d'acordage jusqu'au N°5000, etc.

Le Minimoog peut être modifié (Horreur ... ) , midifié, extrait de son emballage bois pour être mis en rack (par Studio Electronics, bandes de malades ...).

Il reste un mini ultra "Fat" au niveau du son, avec une personnalité inimitable (même en logiciel ... suivez mon regard, hein Charlie ...).

Certains disent que l'on est pas un vrai amateur de synthés si on n'a pas un jour joué sur un Mini, et qu'on s'en rapelle comme du jour de son dépucellage.
Un seul avis : Je suis d'accord !



Caractéristiques hyperconnues mais bon!
- synthé monophonique analogique
- pas de mémoire
- clavier 44 touches non sensible à la vélocité ni à l'aftertouch (faut pas rêver)
- 3 oscillateurs accordables sur 5 octaves + 1 position basse fréquence
- 6 formes d'ondes par oscillateur, non cumulables:
Oscillateurs 1 et 2: triangle, scie/triangle, dent de scie(positive), carré, rectangle large, rectangle étroit.
Oscillateur 3: la scie/triangle est remplacée par une dent de scie descendante, plus utile en utilisation LFO
- Car le Mini n'a pas de LFO dédié: c'est le 3e oscillo qui peut remplir ce rôle en coupant sa sortie audio et le keytracking. Les destinations possibles sont le pitch global et la fréquence de coupure du filtre.
- la quantité de modulation est dosée par la molette...
- un générateur de bruit blanc ou rose
- les oscillos, une source externe éventuelle et le générateur de bruit sont mixés avant d'attaquer...
- un filtre 24db/octave résonant qu'on ne présente pas, avec une enveloppe basique ADS(R). Le keytracking est réglable 1/3 - 2/3 - 3/3.
- un VCA avec enveloppe ADS(R)lui aussi
l'enveloppe ADS(R): on peut régler l'attaque, le decay et le sustain. Il n'y a pas de release, sauf si on appuie sur un commutateur ce qui donnera au release la durée du decay. A noter qu'on enclenche ainsi à la fois le release du VCF et celui du VCA
- et ça sort!

Dans les modulations on a en plus un portamento et un pitch bend sans ressort, à cran central.

Côté connectique: 2 sorties mono low et high, une entré pour signal externe
- Entrées CV et gate, entrées CV pour le contrôle du VCA et de la fréquence de coupure du filtre.

Le tout dans une jolie caisse en bois!

merci de me laisser des comentaires

et de me dir comment vous trouver mon forum

si vous avez des questions n esitez pas .

Salut, il et vraiment beau ce minimoog, et en plus ton topic et excellent ne change rien, en tous cas on en apprend des chose sur ce forum a++

Francis Rimbert en action

Francis Rimbert commença à jouer du piano classique à l'âge de cinq ans. Au conservatoire, il étudia l'harmonie, le contrepoint, la fugue et la direction d'orchestre. Il remporta le premier prix de piano et partit à Paris où il devint vendeur, travaillant dans un magasin de musique qui par chance importait des synthétiseurs, à une époque où personne n'en vendait encore.

Il s'intéressa à ces instruments électroniques. En collaboration avec Korg, il crée un nouveau concept en montant sur scène (Théâtre des Champs-Élysées à Paris) seul, entouré de tous ses synthétiseurs (Bionic Orchestra, 1979). Il deviendra le représentant des marques Roland et Ensoniq.

Il ne tarde pas à rencontrer un autre maître des synthétiseurs : Jean Michel Jarre, à travers leur ami commun Michel Geiss. Après le concert sur la Place de La Concorde à Paris en 1979, ils entament une longue collaboration. Depuis le concert Rendez-vous Houston, en 1986, Francis est aux cotés de Jarre sur les plus grandes scènes.

A coté de son travail sur divers albums de Jarre, Francis Rimbert créa plusieurs travaux d'illustration sonore. Il remporta le premier prix du festival international de musique électronique à Tokyo en 1988 (décerné by Isao Tomita).

En 1994, Francis Rimbert créa de la musique de jeux video.

En 1995 et 1996, Francis fit des master classes, mais il en fut détourné par son travail sur les concert de Jarre.

En 2003, Francis publie un album personnel, intitulé Double Face. Il y explore un monde mystique, plein de dualité, dans lequel chaque titre propose quelque chose à découvrir. Gaelick, par exemple, est un hommage à Michael Flatley (Lord of the Dance (musical)) et à la légèreté des danseurs Irlandais dans une chorégraphie très physique.

La couleur musicale évoque un univers parallèle de dualité des choses et de la culture, particulièrement dans Dorian Gray. Concu comme un tableau avec des touches de Magritte ou un poème avec plusieurs significations.

En 2005, un distributeur américain découvre Double Face et lui propose en contrat de distribution aux Etats-Unis. Le contrat fut signé avec Atomic Quill Music et 10000 exemplaires de Double Face furent fabriqués. Francis Rimbert joua lors d'un showcase pendant le festival Fuse-In à Detroit et à Record Time, le premier magasin de Detroit pour la musique électronique. Il donna aussi des interviews diffusées sur diverses stations (KLCC, ETN, Echoes). Plusieurs titres furent remixés par des DJs américains, dont Kenneth Thomas et D:Fuse et distribués par Moist Music.

En septembre 2005, Double Face fut publié en France et en Europe. En novembre, Francis fit un showcase au Divan de Monde, à Paris.

En 2006, Francis signa des contrats de distribution en Scandinavie et avec le distributeur numérique Wild Palms Music. Sa musique est maintenant disponible dans le monde entier. Concerts, showcases, interviews, sortie d'un single, Mecanique du Temps, un duo avec son ami, le guitariste de hard rock, Patrick Rondat. Le single fut une édition limitée, coïncidant avec une performance au Salon de la Musique en Septembre. Francis trouva aussi le temps de publier une compilation : Sound of Vintage Volume 1.

Mars 2007 vit la sortie de Sound of Vintage Volume 2, suivi par Snap Shots en Octobre. En 2007, Rimbert et son groupe jouèrent des concerts incluant des titres de cet album. Pour ces concerts, il fut accompagné sur scène par LOL, et son ami Sylvain Durand. Avec eux, le percussionniste Victor Paillet et un designer sonore en la personne de Nicolas Mills. Angy, chanteuse et diva, intervint sur plusieurs titres.

Invité par ses distributeurs, d'abord en Espagne puis aux Pays-Bas avant de partir pour le reste de l'Europe, Francis poursuit une tournée promotionnelle de concerts privés.

Après ces performances, Francis fut sollicité pour jouer à Lyon en Novembre 2007, au bénéfice de Handicap International

ma premiere tele
un pote ma appeler pour me dir qu il avais besoin de caser de la zic dans son emition tele
je luis est dit de venir filmer au studio
il ma demander de fair un truc moderne techno
je luis est fais une bonne trance

c etais ma premiere aparition a la tele pour ma zic
alors j ai mi le paquet pour fair bonne impresion

en faite je savais pas quoid dir lol




sur c ette video
j utilise mon minimoog avec un effet delay du quadraverb2 pour la bass
mon xp 50 pour les nappes
et ma groovebox mc 505 pour la partie percution

a tous les visiteur

merci de visiter mon forum
mais ce qui serais sympat .
c est de vous inscrire et de fair avancer ce site .
et de partager comme je le fais avec vous votre savoir sur la zic ou un instrument

PS Dite moi comment vous trouvez ce forum ?

merci d avance

Greg

Hello tout le monde

Jolie petit video greg ça fait réver ce moog
acoupler avec le xp 50 hummmmmm

tu metrises bien ton petit moog

Salut,

bien oui c'est magnifique la vidéo, bien joué bonne continuation a+

merci a vous deux
et un super merci a manulop qui ma aider a metre c ette video sur le web

une interview de bob moog
qui parle a propot de ses synthe

une autre demo du monstre

une video de bob marley pour changer
avec un minimoog bien sur

voici une video du groupe ABBA

avec un minimoog SVP

LA C EST CAREMENT LA COLECTION DE MOOG QUE VOUS ALLER VOIR
C EST ALUCINANT

UNE INTERVEW DU MAITRE FRANCAIS DU SYNTHE ( JEAN MICHEL JARRE )

Arrête Greg : tu vas faire péter le forum Moog après !!!!!!!!!

ha c'est synthé pas des truque qu'on achette en grand surface lolol

je n'arrive plus a retrouver cette magie dans les nouveaux synthé.

il est vrais que ces musique on fait réver plus d'un. et que la relève serra dur.

meme s'il n'est pas le pioner de cette synthèse il à contribuer l l'histoire de cette evolution synthétique et à imposer son style.

le tatouage de la mort

Salut,

Ha oui celui la il et terrible bah la je vais me faire le même je croit, je blague